Je suis CHAB.

Pourquoi CHAB ?

Tout simplement parce que ça l’a toujours été. Le diminutif de mon nom, mon surnom de toujours, et depuis 2002, ma signature — d’abord d’artiste libre à la Maison des Artistes, puis d’indépendant opiniâtre sous mon nom propre.

Un parcours fait de traits, d’encres et de pixels

Les années 80 m’avaient pourtant promis une carrière de dessinateur en génie civil ou d’architecte. Mais les Rotring, les plans à l’ammoniaque et les heures passées à tirer des lignes parfaites ont eu raison de ma patience (et de mon odorat).

Alors j’ai troqué la règle à dessin contre le pochoir et la raclette : sérigraphe, peintre en lettres, maquettiste… J’ai passé de longues années dans la communication par l’image et l’impression tous supports — textiles, vinyles, vitrines, véhicules — pour les autres, puis pour moi, sous la bannière Bleu Citron, lancée en 1992.

Puis vinrent les années 2000 et la grande mutation numérique : la bulle internet, les sites web, les promesses du “tout digital”.

J’ai compris très vite que l’affiche allait laisser sa place à l’écran, et que les pinceaux de la com’ seraient désormais faits de pixels.

Retour à l’école, donc, pour décrocher un BTS Communication Internet au CADASe de Toulon. Depuis, je conçois, optimise et anime la présence en ligne de mes clients — et pour les plus téméraires, je les forme à voler de leurs propres ailes.

Et côté artistique ?

Parce que la création ne s’éteint jamais vraiment, je continue à saisir, tracer, peindre — selon l’envie du moment.

La photo pour capturer la lumière d’un instant, le croquis pour en traduire le mouvement, et la peinture acrylique pour tout ce que les mots ou le numérique ne peuvent dire.

Souvent en noir et blanc, parfois en couleur, toujours avec une touche d’humour, de dérision et d’humanité.

Cette boutique est donc une vitrine parallèle — un espace libre où mes clichés, dessins et toiles trouvent leur place sans autre ambition que d’exister et, peut-être, de vous parler un peu.

CHAB, tout simplement.